Les 16 et 17 mai dernier, la 3e édition du K-plus festival a accueilli 6000 personnes !
En partenariat avec la mairie du 13e arrondissement de Paris et Misikga (épicerie coréenne haut de gamme), cette 3e édition du festival était axée autour de la cuisine coréenne, des savoir-faire ancestraux dans un esprit de tradition et de santé, mais aussi de l’engouement phénoménal des français pour la K-Pop et les séries coréennes sur Netflix.

Une reconnaissance officielle

Les deux précédentes éditions avaient déjà été plébiscitées par les visiteurs mais celle-ci a eu une ampleur décuplée. Une soirée d’inauguration officielle a eu lieu à la mairie avec 400 personnes, en présence du Maire, de notre vice-président Formation professionnelle et continue Gautier Bourdeaux, et de l’ambassade de Corée. Au vu de l’ampleur de l’événement, le festival s’est déployé également cette année sur l’esplanade de l’Université Paris Cité pour ces deux jours ensoleillés.

Un succès incontestable 

Aussi culturel que traditionnel ou festif, toutes les activités proposées affichaient complet ! Les 5 conférences (voir la liste ci-dessous ou ici) autant que les cours d’initiation au coréen par DD coréen ont eu un succès immense. A noter que Jeong Kwan et les haenyeos avaient spécialement fait le déplacement depuis la Corée pour le festival.

  • La philosophie de la cuisine monastique, par Jeong Kwan, nonne bouddhiste très connue à travers le monde via Netflix, qui explore la nourriture comme un acte de méditation et d’harmonie avec la nature.
  • Les témoignages de Haenyeo, plongeuses de la mer qui tentent de préserver leur rôle et leur tradition dans le respect de la nature face aux changements environnementaux, héritage classé au patrimoine immatériel de l’UNESCO.
  • Les K-Dramas, ces séries qui font du bien, en réenchantant le lien social et en mettant en valeur les notions d’amitié, d’amour, de liens familiaux et professionnels, par Sylvie Octobre et Vincenzo Cicchelli, maître de conférences en sociologie à l’Université Paris Cité (Ceped) et enseignant à Sciences Po.
  • L’activisme culturel et social des fans français de la K-Pop, par NA Woojin.
  • Les covers de K-Pop en France, par LIM Hyemi, doctorante en sociologie à l’Université Paris Cité.

Des ateliers, de la musique, de la danse et des valeurs

Toujours dans l’esprit de tradition, un atelier de calligraphie et un karaoké animé par l’association des étudiants en coréen d’UPCité Korehan ont connu le même succès, tout comme les 4 atelier d’arts traditionnels : bojagi (couture) et maedup. En tout, 30 stands étaient assaillis de visiteurs assoiffés de découvrir cette culture.
Sous oublier les performances artistiques de K-Pop suivies par des milliers de jeunes fans dans la cour de l’université. Voir ici.
Le plus surprenant était de voir se côtoyer de façon parfaitement naturelle des ateliers de tradition ancestrale à rythme lent avec des personnes middle age et plus, et des activités ultra modernes et speed comme la K-Pop avec des jeunes survoltés. Une ouverture vers un retour des liens entre génération ?…

En savoir plus sur le programme de l’université ouverte d’UPCité

Prolonger le lien avec la cuisine coréenne de qualité avec Misikga

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